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bonjour,
je suis heureuse de voir que vous vous intéressez aussi au tricot. c'est mon passe temps le soir pou
Par solis06, le 16.01.2013
bonjours,
très jolie modèle vraiment ,je serais interesser par les explications si cela ne vous derange pas
Par delin, le 15.01.2013
je suis heureuse de voir que vous appréciez mon modeste travail que j'effectue avec plaisir mais pour l'instan
Par LORITANO, le 05.11.2012
et encore ce n'est pas un des plus beau......:)
merci à vous
bonne journée.
frédérique .http://solis0 6.c
Par LORITANO, le 05.11.2012
merci pour votre passage sur ma page.
je n'ai pas encore eu le temps d'y mettre mes autres nombreux modèles a
Par LORITANO, le 05.11.2012
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Date de création : 05.05.2012
Dernière mise à jour :
06.06.2012
14 articles
HIAWATHA LE PETIT INDIEN 1/5
Une plaine sablonneuse allant à l’infini, bordée par une forêt giboyeuse à souhait, une rivière chantante où l’on aime pêcher, c’est dans ce paradis qu’un village est né, peuplé par des indiens et par des blancs aussi.
Tous s’entendent à merveille. Il y a de la place pour tous, les caractères faciles et simples à la fois ne se heurtent jamais. Ni cris, ni disputes, même parmi les enfants, qui, tous fréquentent la même école, partagent les mêmes jeux, s’aiment comme frères et sœurs.
Les jours de marché, les mères indiennes proposent de belles couvertures, des broderies aux teintes vives, de la fine vannerie.
Des villages à l’entour et des fermes voisines, pour elles, la clientèle, certes ne manque pas.
La famille du petit indien, elle, a préféré aller s’installer en dehors du village, dans un vaste wigwam richement décoré.
Tout comme les ancêtres, c’est là, qu’on préfère vivre, on n’a pas de contraintes, plus de liberté, un peu moins de confort peut-être direz-vous mais on sait faire sans, cela n’est pas problème.
Et le gibier abonde, le bois est généreux et la rivière aussi, pour le poisson qu’on sèche à la fumée d’un grand feu de bois vert.
Quand les chasseurs ont fait bonne chasse dans les bois ou bien dans la montagne, blancs et indiens se partagent la viande qu’on boucane, elle aussi, provision pour l’hiver, qu’on bloquera chacun dans la tiède chaleur des maisons sous la neige, pendant de longs jours.
Hiawatha aime bien, ces jours là, où blottis près du feu, lui et sa sœur regardent une maman agile dont les petites mains inlassables s’activent à coudre ou à broder, ou alors à tisser de superbes ouvrages qu’on vendra au printemps.
Même Yamatha sa sœur, a fait grande provision des tiges souples de l’osier, cueilli en promenade le long de la rivière. Devenue forte experte à l’égal de maman, elle sait confectionner de jolis paniers, des corbeilles légères, dont la vente permettra l’achat d’un beau coupon. Maman alors fera pour sa petite fille, une belle robe, nouvelle, pour les prochaines fêtes.
Petit indien, lui, assis près du grand père écoute le vieil homme raconter, la vie, merveilleusement libre, des tribus d’autrefois, dont restent les souvenirs ainsi que les regrets.
Les femmes s’activent autour des wigwams, occupées à mille taches qui n’incombaient qu’à elles.
Et dans ces temps bénis on voyait chevaucher dans la plaine, en hurlant de plaisir, les jeunes gens et les vieux partant à la poursuite d’une horde encore sauvage de chevaux indomptés, ou alors à la chasse de gros bisons laineux, provision pour l’hiver qui dans les plaines arides, où les hautes montagnes était fort implacable, et durait bien longtemps.
Combien de fois, hélas, on frisait la famine. Un courageux parfois, poussé par le besoin, sortait pour une chasse au lagopède blanc, dans les sous bois voisins ou allait faire un trou dans la rivière gelée pour une pêche hasardeuse qui était fort maigre ou bien nulle souvent.
Avec quelle joie alors on fêtait le printemps par des danses prolongées bien au-delà de l’aube.
A suivre……
Andrée LORITANO (ma maman)
Une petite série de contes sur Hiawata inventéé par ma maman pour vos chérubinsDe douces nuits en perspective.......
http://solis06.centerblog.net
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